Description
L e pianiste Duke Ellington nous montre dans ce portrait ce qui était certainement l’une de ses plus grandes richesses : ses mains. Des mains qui en ont joué des kilomètres de partition de jazz. De « Three Little Words » à « I’m begenning to see the light » en passant par « I Let a Song Go Out of My Heart » et « Don’t Get Around Much Anymore ».
Est-il encore nécessaire de présenter Edward Kennedy « Duke » Ellington ? L’un des plus grands jazzmen, dont la carrière s’étale sur près de 50 ans. De quoi largement laisser son talent s’exprimer, à la fois en tant que pianiste, chef d’orchestre et compositeur. Le père de nombreux « standards » incontournables de l’histoire du Jazz.
Respect et reconnaissance
Ce portrait a été réalisé à la fin des années 60, en 1969, à Milwaukee, aux Etats-Unis. Une légende de coupure de presse au dos de l’épreuve fournit quelques indications. Duke Ellington s’adonne à quelques échauffements des doigts avant son concert.
1969 est d’ailleurs l’année des 70 ans de Duke Ellington. Il donne alors à cette occasion une série de concerts anniversaire et un album. Les années suivantes resteront très actives jusqu’à sa mort, le 24 mai 1974.
Cette date figure aussi en timbre humide au dos du présent tirage. Une autre coupure de presse y est associée, rappelant que la photo a été utilisée pour illustrer un article sur le décès de Duke Ellington.
Aujourd’hui, cette photographie rayonne comme un bel hommage à celui qui avait le respect et la reconnaissance d’autres grandes figures du jazz, à commencer par Louis Armstrong, Dizzy Gillespie et Ella Fitzgerald.